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 Destruction des nids de frelons asiatiques : procédure d´intervention

Vous découvrez un nid ? Inutile de paniquer. Les frelons asiatiques se montrent peu agressifs à l´égard des humains.

  • Si vous êtes certain.e qu’il s’agit de frelon asiatique -> appeler la société de votre choix (cf. ci-dessous : Attrape Tout ou Hynera Environnement ou Frago Bretagne). Attention : s´il s´agit de frelon européen, le déplacement sera facturé et il n´y aura pas de prise en charge.  
  • Si vous n´êtes pas certain.e qu’il s’agit de frelon asiatique -> appeler la FGDON (09 75 53 57 91). En quelques questions ciblées, le type de frelon sera déterminé. Selon le cas, vous serez dirigé vers une entreprise référencée.
Les 3 sociétés référencées par la FGDON35 pour intervenir sur le territoire sont :
  • ATTRAPE TOUT : 2 route Cherbonnais 35580 GUICHEN / 07 83 86 10 59
  • HYNERA ENVIRONNEMENT : ZA de l´Eperon 3 impasse Pierre-Gilles de Gennes 35170 BRUZ / 02 99 00 62 35
  • FARAGO BRETAGNE : Parc d’Activités du Breil 35380 TREFFENDEL / 02 96 01 37 96
L´opération de destruction des nids de frelon asiatique est encadrée par une convention avec la FGDON 35 qui a elle-même référencé des sociétés spécialisées, soit ´Attrape Tout´ et ´Hynera Environnement´ pour notre territoire.


Contactez la FGDON35 au 02 99 23 57 91 / fgdon35@fgdon35.fr
Les nids installés à faible hauteur ou au ras du sol seront détruits en urgence.
 fgdon35@fgdon35.fr




 Protection des haies au titre de la PAC et en tant qu´habitat d´espèces protégées

Si l’entretien d’une haie relève du propriétaire ou du locataire du terrain sur lequel elle est implantée, la période de nidification en cours des oiseaux (dont la saison de reproduction et de nidification commence à partir de mi-mars) rappelle le rôle essentiel joué par les haies en tant qu’habitat pour de nombreuses espèces végétales et animales.

A ce titre, en particulier pour protéger les oiseaux pendant cette période sensible, la Politique Agricole Commune (PAC) interdit réglementairement aux agriculteurs de tailler les haies du 1er avril au 31 juillet inclus, sous peine d’être exposés à des sanctions financières.

Par cohérence des politiques publiques et tenant compte des enjeux de biodiversité, les services de l’Etat encouragent également les collectivités, les professionnels et les particuliers à éviter la taille des haies et l’élagage des arbres du 15 mars au 31 août (période élargie correspondant aux périodes de reproduction aujourd’hui constatées) pour ne pas déranger ou déloger les oiseaux pendant cette période cruciale de leur cycle de vie. L’enjeu est majeur car actuellement, un tiers des espèces d´oiseaux nicheurs sont menacés d´extinction dans l’Hexagone, selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).

De plus, de nombreuses espèces fréquentant les haies sont protégées. C´est le cas de la plupart des oiseaux qui y séjournent mais aussi des chauves-souris ou des insectes (Grand Capricorne, Pique-prune) hébergés dans les vieux arbres. La destruction, l´altération ou la dégradation des sites de reproduction et des aires de repos des espèces sus-visées sont donc interdites, et constituent un délit au regard de la réglementation espèces protégées. La séquence « éviter, réduire, compenser » (ERC) du Code de l´environnement s’applique de manière proportionnée à tout projet pouvant avoir un impact environnemental. Dans le cas présent, l’élagage et la taille des arbres impactent en premier lieu les oiseaux et leur habitat. Le principe d’évitement temporel des impacts, qui implique de suspendre l’entretien des arbres et des haies durant la période de nidification, peut être considéré comme nécessaire et suffisant vis-à-vis de la réglementation espèces protégées. Le non respect de cette recommandation conduirait son auteur à être en infraction au regard de la réglementation espèces protégées.

Aussi, à l´exception des interventions d´urgence non programmables et motivées notamment par des raisons de sécurité publique, les services de l´Etat invite à différer ces opérations d’entretien des arbres et des haies après la période de nidification, et donc à les programmer entre septembre et mi-mars.



 Préserver les arbres sur la Commune

Supports de biodiversité, les arbres ont de nombreux atouts au sein de la Commune : ils protègent contre la pollution de l’air, ils luttent contre les îlots de chaleur en ville, ils contrôlent le niveau des eaux pluviales, ils permettent de réduire les accidents routiers...

C´est pourquoi, les demandes d’abattage des arbres auprès de la Mairie ne sont recevables que s’ils représentent un danger pour le riverain.



 Expérimentation d’une micro-méthanisation

Dans une démarche de développement durable, la Commune a conventionné avec la société SAUR pour étudier le fonctionnement d’un procédé de micro-méthanisation des boues de la station d’épuration.

Les objectifs de cette expérimentation sont :
  • de répondre à la demande croissante de production et de consommation de biogaz des territoires ;
  • de rendre la méthanisation accessible à des petites stations urbaines et à toutes les collectivités ;
  • de proposer un projet économiquement rentable et techniquement fiable pour les collectivités de petite taille ;
  • de réduire le volume de boues et hygiéniser les matières retournant au sol ;
  • d’établir une référence industrielle dans le domaine de la micro-méthanisation de boues de step urbaine.

Cette expérimentation se fera sur une période de 6 à 12 mois, avec un démarrage prévu en juin 2022 et sera portée à connaissance à destination de la DREAL (Police de l’eau).



 Le fauchage tardif pour préserver la biodiversité

La municipalité s’est engagée à agir de manière éco-responsable et a opté pour un entretien différencié des espaces verts. Chaque espace est aménagé et géré de manière réfléchie.
L’ensemble des espaces verts entretenus par les services communaux ont été inventoriés puis repartis en différentes classes selon un mode d’entretien à appliquer. Une carte sur la gestion des espaces verts et les modalités d’entretien est en cours de réalisation.

Ainsi, à certains endroits bien choisis, les agents appliquent le principe de la fauche tardive afin de préserver des espaces de biodiversité. Il ne s’agit pas d’un défaut d’entretien, mais d’un entretien différent, qui intègre les objectifs du développement durable que la municipalité s’est fixée.
Le fauchage des zones a lieu deux fois par an : en juillet et à l’automne. Le sol s’appauvrit au fur et à mesure des années et les plantes spontanées reviennent. La flore se développe naturellement formant ainsi un petit éco-système, paradis des fleurs sauvages, des papillons et des insectes.

Sur la Commune et notamment sur le bassin tampon aux Frêches, aux abords du lavoir au Pavail et rue Saint-Exupéry, ce sont des fleurs comme le géranium sauvage, la viola, la potentille sauvage, la menthe sauvage... qui ont fait leur retour.



 Phytosignal : risques liés aux pesticides

Afin de faciliter les déclarations de riverains suite à une exposition à une pulvérisation de pesticides, l’Agence régionale de santé et la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt ont missionné l’association FREDON Bretagne pour la mise en place d’un dispositif nommé « PHYTOSIGNAL ».

Ce dispositif, accessible à travers un numéro vert gratuit, a pour objectif de :

•    Recueillir les signalements liés aux épandages de produits phytopharmaceutiques (et de biocides, le cas échéant) ;
•    Répondre aux questions des signalants concernant la réglementation ou les pratiques d’utilisation des produits phytosanitaires et de produits biocides ;
•    Caractériser le signalement de manière précise pour évaluer l’ampleur du phénomène
•    Assurer une prise en charge en redirigeant vers l’acteur compétent et assurer un suivi coordonné.
Le numéro vert 0 805 034 401 est ouvert du lundi au vendredi de 09h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  Affiche_Phytosignal.pdf




 Entretien des cours d´eau

Qui doit entretenir les cours d’eau ? 

Le Syndicat Mixte du Bassin Versant du Meu s’est longtemps substitué aux obligations d’entretien des berges par les propriétaires riverains. Le programme d’actions du Syndicat sur les cours d’eau évolue, ces travaux ne pourront plus être effectués par le Syndicat. Aussi, la fiche ci-dessous rappelle les obligations des propriétaires en bord de cours d’eau :
  fiche_a4_entretien_d_un_cours_d_eau_2_2.pdf




 Valorisez vos déchets verts du jardin

Des solutions existent pour valoriser vos déchets de jardin sur place :
  • Pensez à la tonte mulching pour nourrir le sol. Couper l´herbe finement en la laissant sur place.
  • Utilisez les tontes de pelouses pour faire du paillage. Une fois sèches, les tontes de pelouses peuvent être déposées au pied des arbres, des arbustes, des fleurs, etc. Cela constitue un bon moyen d´enrichir le sol, de ralentir son dessèchement en été et freiner la croissance des herbes indésirables.
  • Utilisez vos tontes de pelouse séchées dans votre composteur, tout comme les feuilles mortes, les brindilles, les petits branchages broyés... à mélanger avec vos déchets de cuisine (épluchures, marc de café, coquilles d’œufs, etc).



 Interdiction des pesticides : les alternatives

Usage de pesticides à proximité de points d´eau

Afin de préserver la qualité des eaux, un arrêté préfectoral, en date du 1er février 2008, interdit l´usage de tous les pesticides (désherbants, fongicides, insecticides) selon les règles suivantes :
  • à moins de 5 mètres minimum des cours d´eau et plans d´eau
  • dans et à moins de 1 mètre de la berge des fossés (même à sec)
  • sur les avaloirs, caniveaux et bouches d´égout
Tous les utilisateurs de pesticides sont concernés : particuliers, agriculteurs, collectivités et entrepreneurs. En cas d´infraction, les peines encourues peuvent aller jusqu´à 75 000 € et 2 ans d´emprisonnement.

Utilisation des pesticides chimiques par les particuliers

Depuis le 1er janvier 2019, vous ne pouvez plus acheter, utiliser et stocker des pesticides chimiques* pour jardiner ou désherber. Issue de la loi Labbé, cette interdiction concerne également les collectivités qui n´ont plus le droit depuis le 1er janvier 2017 d´utiliser les pesticides chimiques* sur les espaces verts, les forêts, les voiries ou les promenades accessibles ou ouverts au public.

Des solutions alternatives existent !

Planter des plantes locales, au bon endroit selon l´exposition et la nature du sol - cultiver à proximité les unes des autres des plantes qui s´apportent des bénéfices mutuels - utiliser les plantes et les animaux auxiliaires pour lutter contre les maladies et les ravageurs - favoriser la biodiversité, alterner les cultures, adopter le paillage pour protéger vos végétaux des bioagresseurs - en sont quelques-unes. Un jardin naturel et équilibré est un jardin plus résistant !

Les alternatives non-chimiques et les produits de biocontrôle sont des solutions efficaces pour prévenir et si besoin traiter. Vous pouvez utiliser des produits de biocontrôle adaptés, au bon moment selon le stade de développement du bioagresseur et les conditions climatiques.

L´ensemble des conseils et solutions pour jardiner sans pesticides sont disponibles sur le site www.jardiner-autrement.fr

Rapportez vos pesticides !

Bidons, bouteilles, flacons, sprays, et autres contenants, qu´ils soient vides, souillés ou avec un reste de pesticides, doivent être rapportés en déchèterie ou en point de collecte temporaire, si possible dans leur emballage d´origine. Il ne faut en aucun cas les jeter à la poubelle, ni les déverser dans les canalisations.

Trouvez la déchèterie la plus proche ou un point de collecte temporaire sur le site : www.ecodds.com

* Les pesticides chimiques, aussi appelés produits phytopharmaceutiques, servent à protéger les plantes. Il s´agit des herbicides, fongicides, insecticides, acaricides, anti-limaces... Les pesticides de biocontrôle, à faible risque ou utilisables en agriculture biologique restent autorisés.



 Les Jardins Participatifs

Vous avez déjà entendu parler des Jardins Participatifs ? En entretenant les parterres communaux se trouvant devant chez eux, les bréalais ayant signés une convention avec la Collectivité, participe à cette démarche.

La Commune offre la possibilité aux Bréalais de s’approprier l’espace public pour améliorer leur cadre de vie. Les habitants deviennent ainsi des acteurs impliqués dans l’embellissement de leur rue, de leur square, en complémentarité avec le service Espaces Verts.

Si vous êtes désireux de participer, n’hésitez pas à contacter la Mairie.



 Jardins Familiaux

A mi-chemin entre le centre de Bréal-sous-Montfort et la Zone industrielle du Hindré, le premier site des Jardins Familiaux de Bréal, appelé ´Les Jardins de l´Avenir´ par l´association, est implanté sur le terrain des anciennes serres suite à un accord de vente conclu entre l´ESAT du Pommeret, détenteur du terrain et la Commune.

L´association est administrée uniquement par les adhérents et œuvre pour offrir un lieu de vie locale privilégiée où s´épanouissent des relations aux origines et aux profils socioprofessionnels très variés.

Contact : Ludovic Vaz au 06 52 68 17 93 ou ludovicvaz@free.fr



 Démarche Zéro phyto

Depuis maintenant une dizaine d’années, la Commune de Bréal-sous-Montfort est entrée dans une démarche qui tend vers le Zéro Phyto, ce qui a impliqué une totale refonte des pratiques d’entretien.

Alors qu’hier les agents communaux utilisaient des pesticides pour le désherbage, ils utilisent aujourd’hui une machine à eau chaude. Les aménagements urbains, eux, ont complètement été repensés. Tous les recoins où pouvaient pousser les plantes indésirables ont été anticipés dans les réalisations : pose de dallages sans joints, plantations en pied de murs entretenues, gazon du terrain de football très dense pour éviter toute pousse de plantes indésirables.

Dans cette démarche Zéro Phyto, d’autres actions sont également mises en place : les plantes annuelles ou biannuelles sont remplacées par des plantes vivaces afin de réduire l’utilisation d’engrais, de traitements et d’eau, les abords du Complexe sportif sont engazonnés… et l’entretien des espaces verts est de plus en plus étalé dans le temps à mesure que l’on s’éloigne du bourg.

Le but : respecter la biodiversité dans les milieux naturels.



  • Lutte contre les plantes invasives
La lutte contre la berce du Caucase et l’ambroisie à feuilles d’armoise se renforce.
Des plantes invasives qui impactent la santé humaine
Les plantes exotiques envahissantes constituent une problématique de plus en plus préoccupante. Dans ce contexte, l’ensemble des départements français est concerné. Cependant, certaines plantes présentes dans d’autres régions commencent à arriver en Bretagne. Parmi ces plantes, certaines sont particulièrement dangereuses pour la santé humaine. C’est le cas de l’ambroisie à feuille d’armoise, de la berce du Caucase, du raisin d’Amérique et du datura stramoine. Elles peuvent soit être toxiques par ingestion, soit provoquer de graves brûlures ou entraîner d’importantes réactions allergiques. L’Agence Régionale pour la Santé (ARS) Bretagne s’est saisie de cette problématique et a missionné la Fédération RÉgionale de Défense contre les Organismes Nuisibles (FREDON) Bretagne pour organiser la surveillance et la lutte contre ces plantes.
Une nouvelle réglementation : 4 arrêtés préfectoraux
Sous l’impulsion de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) Bretagne et de l’ARS Bretagne et conformément à la réglementation (en application du code de la santé publique, du code de l’environnement et du code rural et de la pêche maritime), les Préfets des quatre départements de la Bretagne ont pris des arrêts d’obligation de prévention et de destruction contre deux plantes : l’ambroisie à feuille d’armoise dont le pollen est très allergisant et la berce du Caucase qui provoque de graves brûlures de la peau.

Afin d’enrayer la progression de ces plantes, une lutte organisée et coordonnée est nécessaire. Ces arrêtés apportent une réponse supplémentaire dans le cadre de la lutte contre ces plantes exotiques envahissantes impactant notre santé.
L’obligation de lutte et de non dissémination est applicable dès à présent et les mesures de préventions sont à privilégier pour une action plus efficace.
Une organisation régionale bien définie
  • L’Agence Régionale de la Santé de Bretagne supervise le dispositif de surveillance et de lutte contre ces plantes
  • La FREDON Bretagne met en Å“uvre la surveillance et la lutte en lien avec les gestionnaires d’espaces. Elle coordonne l’action des différents acteurs, les forme et les conseille dans les méthodes de lutte à mettre en place.
  • L’ensemble des acteurs des territoires (collectivités, agriculteurs, particuliers…) peuvent signaler la présence de la plante à la FREDON Bretagne qui, en fonction de la situation, préconise des moyens de lutte adaptés.

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter la FREDON Bretagne au 02 23 21 18 18  ou fredon@fredon-bretagne.com ou consulter les sites Internet de :
la Fredon Bretagne : www.fredon-bretagne.com
de l’ARS Bretagne : www.bretagne.ars.sante.fr
ou de la DREAL : www.bretagne.developpement-durable.gouv.fr



  • Distance des plantations (haies, arbres, arbustes...) entre propriétés
Vous pouvez faire pousser des arbres et plantations librement dans votre terrain. Toutefois, certaines règles de distance sont à respecter à proximité de la propriété de votre voisin. L´entretien des plantations mitoyennes ou situées en limite de propriété ainsi que la cueillette des fruits de vos plantations répondent également à une réglementation précise.

Plus d´infos :
 www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F614




  • Chenille processionnaire du pin : campagne de lutte
L´élévation moyenne des températures dans notre région favorise le développement des chenilles processionnaires du pin, avec un cycle plus étalé dans la saison qu´auparavant. De nombreuses chenilles sont observées au sol en procession dés que les températures dépassent les 12 degrés.

Le risque d’urtication est très important pour l’homme et les animaux domestiques auprès de ces foyers aussi il convient d’établir un périmètre de sécurité autour des arbres concernés.

La fiche d´inscription à télécharger ci-dessous permet aux particuliers et aux entreprises de participer à la campagne de traitement qui aura lieu à partir de fin septembre 2019.

  Fiche_d_inscription_2019_CH_Pin.pdf




  • Risques Radon : Information des Acquéreurs Locataires
Depuis juillet 2018, l´état des risques doit informer de la situation du bien en zone à potentiel radon, si la commune est classée dès le niveau 3. Bréal-sous-Montfort étant classée niveau 3 pour le risque Radon, vous trouverez en pièce jointe l´arrêté préfectoral du 31 août 2018, ainsi qu´un nouveau formulaire 'état des risques et pollutions' publié en juillet 2018 et destiné aux vendeurs ou bailleurs pour les annexes d´un contrat de vente ou location d´un immeuble.

Le radon est un gaz radioactif d´origine naturelle. il est issu de la désintégration de l´uranium et du radium présents dans la croûte terrestre. Certains types de roches, notamment le granit, en contiennent davantage.

Plus d´infos :
 www.irsn.fr/FR/connaissances/Environnement/expertises-radioactivite-naturelle/radon/Pages/Le-radon.aspx

  2_Formualire_etat_des_riques_et_pollution___arrete_prefectoral_.pdf




Mairie de Bréal sous Montfort
2 rue de Bruz
35310 BRÉAL SOUS MONTFORT
   02 99 60 41 58
   02 99 60 07 57
   mairie@brealsousmontfort.fr
Correspondante Ouest France
   06 75 26 87 59 (à partir de 19h)
   maryline.occitanie@gmail.com
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